Capolavori litografici di Jean-Victor Vincent Adam, sono il quadro del mese allo Studio Bolzani di Milano. Una mini quadreria museale di incredibile valore.
STUDIO BOLZANI, storica galleria di Milano che ha brillantemente festeggiato i cento anni nel 2022, già da tempo “Bottega St
orica” di Milano, e attivissima sul versante dell’arte moderna e contemporanea, ci propone per il 2025 “IL QUADRO DEL MESE”. Sicchè nelle vetrine della Galleria Strasburgo a ridosso di Piazza San Babila troveremo ogni mese un dipinto -o un corpo di opere come in questo caso- di eccezionale valore e di un artista di chiara fama. Per giugno 2025 è la volta di un corpo di opere, quasi un mosaico di incredibile fattura, di Jean-Victor Vincent Adam (Parigi 28 gennaio 1801- Viroflay 30 dicembre 1867), artista di chiara fama dell’Ottocento francese; aggiungiamo che i Bolzani da sempre si sono interessati di numerosi pittori di chiara fama dell’Otto e del Novecento. Il corpo delle opere, un mosaico di piccole e piccolissime litografie esposte allo Studio Bolzani di Milano (in Galleria Strasburgo) in questo giugno 2025 mostrano scene di costume, cavalieri e cavalli, animali, scene di caccia e di battaglia,
Jean-Victor Vincent Adam (Parigi 28 gennaio 1801- Viroflay 30 dicembre 1867) è stato un pittore e litografo francese famoso per aver realizzato la galleria storica di Versailles. Fu allievo di Charles Meynier e successivamente del barone Jean-Baptiste Regnault. Al Salon de peinture et de sculpture del 1819, presentò Erminia soccorre Tancredi; dal 1824, iniziò a lavorare con la tecnica della litografia, realizzando nella sua carriera oltre quattromila pezzi (forse settemila) su temi storici, scene di costume, di caccia e di cavalli. A lui si devono, inoltre, le illustrazioni per le opere di Francois Rabelais nel 1810 e per le Favole di Jean-Pierre Claris de Florian nel 1838. L’anno successivo realizzò le illustrazioni del libro Parigi nel XIX secolo e, nel 1844, quelle per il libro Fatti memorabili della storia di Francia. Sfogliando l’album di Jean-Victor Vincent Adam che è conservato nel Museo Napoleonico possiamo ammirare queste sue due litografie colorate risalenti alla metà del 1800. Rappresentano due begli interni, questa volta non domestici, bensì di lavoro: due studi
d’artista. Era quello il periodo di massima fortuna in pittura e nelle arti grafiche di questo soggetto di genere, lo studio d’artista, o l’autoritratto/ritratto d’artista nel suo studio. Nella prima litografia un pittore sta dipingendo una grande tela di soggetto figurativo, con cavalli, cavalieri ed una città sullo sfondo; un personaggio maschile, di spalle, lo sta osservando all’opera; sulla sinistra campeggiano un album da disegno ed un cavalletto, alle pareti vediamo alcuni quadri ed oggetti, sulla destra una stufa. Nell’altra stampa due artisti stanno realizzando delle incisioni, un altro sta prendendo delle misure appoggiato ad un tavolo; una grande finestra bagna di luce la stanza; alle pareti sono appesi quadri. La velocità del tratto e l’immediatezza della resa con i colori vivaci rendono godibili, suggestive e coinvolgenti le scene rappresentate.
Impareggiabile nel disegno dei cavalli e dell’equitazione in genere, magistrali le sue rappresentazioni anatomiche. Ecco quanto scrisse Mennessier de la Lance: “I cavalli di Victor Adam che ha rappresentato tutte le razze…sono sovente eleganti e belli e lasciano cogliere un movimento incredibile…”.
“Peintre et surtout dessinateur français, 1801-1867. Élève de Meynier et de Regnault, il a exposé pour la 1 re fois au Salon de 1819 et y obtint une 3 e médaille, puis une 2 e à celui de 1836. Parmi les milliers de dessins lithographiés dont il est l’auteur, la plupart représentent des chevaux et des scènes hippiques. Il fut donc un spécialiste dans ce genre et son nom mérite au premier titre de figurer dans une bibliographie hippique. Les chevaux de Victor Adam, qui a représenté toutes les races, du Boulonnais au Pur sang, sont souvent élégants et gracieux et ont parfois un mouvement endiablé. Mais leur anatomie est imprécise ou même fantaisiste: leur élégance est souvent obtenue par l’allongement exagéré des vertèbres cervicales, de l’attache de tête; l’épaule et l’articulation scapulo-humérale lui échappent, et c’est généralement le point le plus faible de ses compositions. Mais l’arrière-main est en général très correctement rendue. Quant aux mouvements, surtout en ce qui concerne le pas et le galop, ils ne rappellent que de loin la réalité qu’ont révélée les récentes et stupéfiantes découvertes de la
photographie instantanée. Mais, à ce sujet, il est permis de se demander si la représentation artistique du cheval doit nous le montrer sous un aspect que notre oeil ne perçoit jamais. Voyez, pour cette question, Duhousset .
“Tous ses dessins, dit M. Béraldi, sont exécutés avec une facilité inouïe, de chic, suffisamment soignés et quelquefois amusants, jusque vers 1848, moment où la production devient tout à fait commerciale et n’est plus que de l’imagerie. » Ce jugement est un peu sévère, car je connais de fort agréables dessins de Victor Adam postérieurs à cette époque. La description ou même l’énumération des œuvres détachées de ce fécond dessinateur est impossible, et je me bornerai à citer ses principaux recueils de lithographies ou suites de chevaux. Portraits de chevaux anglais les plus célèbres . Panichodème ou toutes sortes de voitures .Suite de chevaux. Chevaux de races de tous pays . Souvenirs du Moyen Âge . Camp du Drap d’or . Galerie chevaleresque . Le Tournoi . L’Hippodrome . Cirque des Champs-Elysées . Les Exercices de Franconi . Le Sport . Amazones historiques . Le Cheval au Cirque . Scènes parisiennes . Équitation . L’Équitation et ses charmes . Les plaisirs de l’Équitation . Les accidents de l’Équitation . Suite de Chevaux arabes . Étalons envoyés par l’Empereur du Maroc au Roi Louis-Philippe . Les Chevaux et le sport .
Ces recueils, en noir ou en couleurs, sont en grande partie cités par M. Béraldi et ont été publiés, la plupart sans date, chez Tessari, Aumont, Bulla et Delarue, Gâche, Bonvin, etc., lith. de Fourquemin, Formentin, Lemercier, Godard, etc. Victor Adam a aussi illustré plusieurs ouvrages hippiques : le Manuel d’Équitation de Gerhardt; la traduction de 1828 du Traité de ferrure sans contrainte de Balassa; la 1 re Édition du Manuel d’Équitation de Vergnaud (des Manuels Roret); l’Ami de l’Éleveur du comte de Lastic Saint-Jal; les Institutions hippiques du comte de Montendre; les Études basées sur l’anatomie… du Dr de Lamotte; le frontispice du Manuel de l’Amateur de Courses de Bryon; le Chapitre des Accidents de Maurice Alhoy, etc. L’exposition rétrospective de dessins, gravures et lithographies se rapportant à l’attelage, jointe en 1900 à celle des anciennes voitures, comprenait une quantité considérable de lithographies et quelques gravures de Victor Adam, en noir et coloriées.” Mennessier de La Lance (1915-1921)
Ho presente un bellissimo acquerello di Jean-Victor Adam, disegnatore e litografo in campo militare. Qui sono raffigurati i soldati di un reggimento di fanteria, i tirailleurs, su uno sfondo paesaggistico con una palma e un portabandiera francese sulla sinistra. I costumi dei soldati in primo piano sono ben dettagliati e si riconoscono gli Zuavi, i mercenari algerini incorporati nell’esercito francese durante la conquista dell’Algeria nel 1830. La storicità dell’opera è rafforzata dalla rappresentazione sullo sfondo di numerose figure che formano un esercito al centro, e sulla destra di altre figure con una moschea e un edificio con la bandiera francese. Questo acquerello può essere datato abbastanza presto, poiché il ritratto di uno zuavo realizzato da Eugène Delacroix negli anni Trenta del XIX secolo mostra un costume identico (Galleria Moravska, Brno, Repubblica Ceca).
Jean Victor Vincent Adam était un peintre et lithographe francaisné à Paris en 1801, mort a Viroflay en 1866. Entré à l’école des Beaux Art de Paris en 1814, alors qu’il est à peine âgé de 13 ans, il exposeses premiers tableaux en 1819. Il a été l’élève de Charles Meynier, puis du Baron Regnault. Par la suite, il s’essaye à la lithographie et c’est finalement dans cette forme d’expression artistique qu’il s’est exprimé, en réalisant près de 8 000 planches. Il a également illustré de nombreux ouvarges comme l’ Histoire de l’empereur Napoléon, le Sacre de Sa Majesté Charles X, dans la métropole de Reims ou les Fables de La Fontaine.Ses lithographies représentant des scènes de diligence, des chevaux ou les fêtes des environs de Paris sont particulièrement appréciées.
Carlo Franza